All news

CHU de Montpellier : l’excellence comme ADN

Information updated on 12/11/19

Classé 5e CHU de France, il allie dynamique de recherche, innovation et qualité des soins. Tremplin de la médecine de demain, il contribue à faire de la Métropole de Montpellier un territoire d’excellence en santé, créateur d’entreprises et d’emplois.

CHU de Montpellier Arnaud de Villeneuve@David Crespin

CHU de Montpellier Arnaud de Villeneuve ©David Crespin

Quelle santé ! Au palmarès 2019 des hôpitaux français dressé par Le Point, le CHU de Montpellier a gagné deux places pour se hisser en 5e position.

« Reflet de la diversité de nos spécialités d’excellence, une prise en charge sur trois se situe dans le top dix », précise Thomas Le Ludec, directeur général de l’établissement.

Les anévrismes cérébraux et la chirurgie de l’obésité sont N°1, suivis par la schizophrénie.

« En neuroradiologie, le Pacte Métropolitain d’Innovation entre Montpellier Méditerranée Métropole et l’Etat nous a notamment permis d’ouvrir une troisième salle d’angiographie cérébrale hybride, unique en Europe », ajoute le directeur général.

Très dynamique par ses investissements technologiques, le centre montpelliérain l’est aussi dans la recherche et pour le nombre de patients inclus dans les essais cliniques, qui le placent respectivement au 6e et 2e rangs des CHU. Sans compter de nombreuses innovations, comme la “réhabilitation améliorée après chirurgie“ favorisant le rétablissement précoce du patient. Ou cette “unité de surveillance continue“ qui améliore la prise en charge des patients admis dans un contexte d’urgence, en post-opératoire et post-réanimation. Une première en France !

Accompagner l’innovation

Si le CHU montpelliérain, réputé pour sa formation, séduit de plus en plus d’internes, il noue aussi d’autres liens.

« Imaginer des trajectoires de chercheur ou clinicien allant jusqu’à la création d’entreprise me paraît un modèle de développement d’avenir », estime Thomas Le Ludec.

L’établissement a d’ailleurs été le premier CHU à prendre une participation dans une startup, MedXCell, qui va installer son centre de production à Montpellier après un passage par le bio-incubateur Cyborg.

Pour Thomas Le Ludec, il manquait un maillon : « détecter des idées embryonnaires dans nos services avant qu’elles ne soient reprises par des industriels sans valorisation pour le CHU. »

Ainsi est né l’extracteur d’innovation, cofinancé par Montpellier Méditerranée Métropole à hauteur de 40 000 euros. Depuis 2017, il a analysé 70 projets visant à perfectionner ou créer des procédés pour mieux prévenir, soigner, gérer ou organiser. Deux startups ont été créées. Deux autres vont l’être et trois sont suivies par le BIC.

« Nous n’œuvrons pas “à la place de“ mais avec notre écosystème. »

There are 0 commentaires on this page